Le parcours réussi d'un commercial

La dénomination de l'appellation de commercial englobe la notion de représentation et tout le processus de l'opération de commerce, à la différence du vendeur dont l'habilté est la maîtrise d'une vente satisfaite immédiatement dans la majorité des cas au bénéfice de toute une équipe et organisation. Cependant, la diversité et la complexité des services et produits et le manque de clarté dans le postionnement de certains services et produits, dû en grande partie à l'urgence des priorités économiques et des tensions économiques et financières du quotidien ont contraint cette discipline à se raffermir, à se professionnaliser davantage et à un exercice plus expert. Le vendeur est devenu aujourd'hui un vendeur réactif, convaincant et très compétent. Le conseil à ce niveau ne peut qu'être qu'un atout supplémentaire d'une vente réussie et de fidélisation. Le commercial, fonction plus complexe, est avant tout un représentant de valeurs professionnelles dont l'objectif est d'occuper un marché en voie de développement, d'augmenter le chiffre d'affaire et de l'amener à sa maturité par le biais d'une stratégie commerciale, de structurer les ventes par le biais de plan marketing afin de répondre à une demande ciblée. Son travail est donc de répondre à un marché potentiellement identifiable en phase de croissance et d'apporter une solution globale et personnaliséeafin d'en dégager une économie et une place. Son activité génére des opérations transactionnelles importantes en terme de chiffre d'affaire et de suivi. Ici, le métier prépare le terrain, prospecte efficacement et intelligemment, gagne la confiance et l'intérêt, présente et valorise la prestation de service, écoute et répond aux objections et reformule le cas échéant, amène le futur client à l'acte d'achat en l'impliquant et le responsabilisant face à son acquisition sans aucune contrainte et enfin, finalise et conclut la transaction pécunière par un engagement contractuel ou partiel dans certains cas. L'étape finale de cette opération de vente est importante puisqu'elle conditionne le service vendue et doit permettre une recommandation implicite et un suivi régulier de valorisation du besoin et d'optimisation du service. Dans les 2 cas de figures professionnelles, l'expérience du terrain permet une connaissance des besoins et de la demande plus averties ainsi qu'une maturité professionnelle plus réaliste. Ces métiers ont su gagner leur lettre de noblesse en organisant aussi des formations. Ainsi, les écoles de vente ou de commerce permettent d'acquèrir des connaissances importantes, tels que les techniques de vente et de commerce, la discipline commerciale et son sens moral, des notions essentielles d'économie de marché et de son tissu économique, la connaissance des us et coutumes des différents environnements, l'apprentissage de l'histoire, la maîtrise des mathématiques, notamment les calculs de rendement et des ratios, l'informatique notamment la programmation, la  gestion comptable, les calculs de probalité et de prévoyance et enfin la culture, le bon langage et les bonnes manières. On assiste aujourd'hui à une compétition des différentes écoles de vente et de commerce du fait de l'exigence de la profession et de son importance dans notre quotidien. Le ministère de l'économie, des finances et du commerce est ce savoir et savoir-faire pour ce qui est de sa performance et cette discipline et instruction, c'est-à-dire l'art et la manière pour ce qui est de sa conduite ministèrielle. Le ministère de la défense n'est pas très loin de cette adresse pour des raisons d'intérêts économiques et stratégiques de développement. Les grandes écoles de vente et de commerce déléguent des connaissances mais aussi des responsablités à ne pas ignorer. Quant aux palmarés de ces écoles, il faut comprendre les classements comme une exigence morale, de travail et de rayonnement économique, c'est-à-dire l'importance des fonctions occupées, des décisions qu'ils engendrent et des accords qu'ils nécessitent. Il y a différentes écoles dont le postionnemnt relève d'accord et de réserves professionnelles mais aussi de spécialisations sectorielles, géopolitiques et de stratégies marketing. L'intelligence commerciale et économique est une discipline et un art du commerce et de l'économie. Les études économiques relèvent davantage d'une dimension stratégique organisationnelle et structurelle du travail, de son développement, de sa productivité et de son éthique. Quant à l'ENA est, comme son nom l'indique, l'administration de la conduite du pays et de son impact environnemental, économique et humain. Les connaissances sont identiques mais son rôle et sa vision diffèrent, les critères en sont comme tenus secrets pour des raisons de sécurité, un peu comme " tenue correcte exigée à l'entrée d'une grande place de danse".